C’est par l’intermédiaire d’une nouvelle rencontre sur les réseaux sociaux que j’aborde ce sujet aujourd’hui. La communauté de blogueurs est majoritairement bienveillante et la solidarité qui règne dans ce milieu est assez surprenante et plutôt agréable je dois dire. J’ai récemment croisé la route de Tifany du blog Twenthyfirst-three. Elle a eu l’idée de faire un article récapitulatif avec une série d’anecdotes pas très réjouissantes de nombreux expatriés afin de montrer l’envers du décor de cette folle aventure. Cela n’enlève en rien la beauté de l’expérience, mais permet de remettre en lumière qu’un changement de vie n’est pas toujours aussi idyllique qu’on l’imagine (où que certains le prétendent).En tenant compte de ce regard et suite à plusieurs questions de certains d’entre vous, tu vas découvrir ci-dessous notre toute première galère d’expatriation au Québec.
Le Jour J ! Oui, le jour même de notre expatriation : on ne fait pas les choses à moitié, tu devrais le savoir maintenant. C’est pourquoi on va démarrer par une belle petite photo avant de rentrer dans le vif du sujet…😄
« Un train peut en cacher un autre » : pour les galères, c’est pareil !
Nous venons de poser le pied à l’aéroport Jean-Lesage de Québec. Un voyage loin d’être particulier. En effet, une préparation de plus de 18 mois, un aller simple en poche et l’esprit libre. Oui, nous étions étonnement très serein. Difficile d’avoir la crainte d’oublier quelque chose à la maison. Elle est en soute, dans les 6 valises qui nous accompagnent, nos 3 sacs à dos et la cage de Néo. Malgré le fait que nous ayons anticipé un maximum de choses, je restais convaincu que le risque zéro n’existait pas. Une « bad luck » peut toujours arriver.
Voilà, d’ores et déjà, une des aptitudes qu’on acquiert en s’expatriant : la résilience. Cette capacité d’adaptation et la facilité à traiter des problématiques données. Certes, ma déformation professionnelle m’a été très utile. Mais n’oublions pas que des problèmes, tu en as connu en tant qu’expat, tu en côtoies quelques-uns aujourd’hui et tu en auras encore, rassure-toi. 😉
Bref, ce jour-là, notre première belle galère d’expatriation nous attendait.
Je ne vais donc PAS te raconter ces petits imprévus anecdotiques…
- les 700$ d’amendes évitées grâce à un agent aéroportuaire très délicat qui est allé voir en douce un douanier pour enregistrer « à la main » notre berger australien (que nous aurions dû déclarer en arrivant sur la borne de la douane dans l’onglet « inspection des denrées alimentaires, végétales et animales… »)
- ou la panne du système informatique de traitement des données biométriques internationales qui nous a fait poireauter pendant 4h à l’immigration. Inutile de préciser qu’à ce moment-là, même toi, tu te demandes si tu n’as pas des antécédents douteux quelque part dans une vie antérieure !^^
…mais une autre galère d’expatriation, bien plus marrante… Hum !
La vraie complication de ce début d’expatriation
Concrètement, je vais plutôt m’attarder sur notre arrivée à notre premier appartement. Loué depuis la France et payé en avance depuis 15 jours (nous sommes le 15 juillet et au Québec, déménager est un sport national qui se pratique le 1er juillet. Véridique !) Autant dire qu’avec le marché du logement au Québec (retrouve tous les détails juste ici !), nous avions fait profil bas et payé volontiers notre loyer d’avance pour ce beau « condo » tout neuf en centre-ville.
Après 25h12 de voyage
Certains chiffres marquent plus que d’autres (tu peux revivre folle journée d’expatriation en lisant cet article). Nous garons enfin notre Dodge Grand Caravan de location, chargé comme une mule, sur le parking de notre futur chez nous. À la québécoise, l’appartement est ouvert, les clés sont posées sur le plan de travail. Tu l’auras compris, ils ont l’esprit bien plus tranquille que certains d’entre nous. Ce côté « safe » est plutôt rassurant.
L’accueil, en revanche, l’est un peu moins. Une semaine avant notre arrivée, l’agent immobilier nous avait prévenus que nous reprendrions un appartement loué une seule fois, mis sur le marché il y a un an. Pas d’inquiétudes, de prime abord. Ça, c’était dans le monde des bisounours…
Dans la vie réelle
Le Camping-Car de Breaking Bad devait être plus sain que le sol de cet appartement. Des trous plutôt apparents dans les murs, une porte à moitié arrachée, des restes dans le lavabo de la salle de bain et des toilettes qui auraient pu servir dans une reconstitution d’une fiction Netflix. Ni une ni deux, j’ai contacté le commercial de l’agence, à 21h30 grâce à Messenger. Il a été au top, m’a répondu immédiatement et s’est déplacé dans la foulée.
Nous avons été relogés dans un appartement quasiment terminé dans la demi-heure, juste à côté. Enfin, après avoir englouti un Tim Horton d’urgence ou de première nécessité (pas vraiment le choix à ce moment-là!) nous avons pu nous endormir, tous les trois. Un lit « king size » grand luxe : un beau matelas pneumatique acheté chez Walmart quelques heures plus tôt en arrivant. (Presque tous les 4 je devrais dire, puisque notre boule de poils à tenté à plusieurs reprises de s’incruster!)
« Spoiler Alert » : l’expatriation, un long fleuve loin d’être tranquille
Depuis, il y en a eu d’autres. Bien évidemment, cette succession de galères d’expatriation n’a fait que renforcer notre confiance en nous et la certitude que nous étions capables de faire face (encore ) à des situations « délicates ». À ce propos, il ne faut pas en vouloir aux réseaux. Selon moi, l’objectif d’Instagram reste l’évasion, le rêve, la beauté, le voyage (quel qu’il soit). Celui de Facebook, reste quant à lui à définir, j’ai un peu plus de difficultés, je ne suis pas trop médias et diffusion à outrance d’informations.
Prendre de la hauteur
En tant qu’individu pertinent et réfléchi que tu es (j’en suis sûr, puisque tu es entrain de lire un article de mon blog #restonsmodestes😎) tu sais bien qu’un profil sur un réseau social reflète simplement une vitrine de la vie des gens qui sont derrière. Une réalité subjective, choisie et assumée (en théorie). Il en va donc de même pour la majorité des contenus publiés sur le web. Sans rancune, nous sommes prévenus. C’est pourquoi j’essaye d’être objectif tout en montrant les paillettes de cette merveilleuse aventure, mais en essayant de ne pas te vendre du rêve.
D’ailleurs, au fur et à mesure que j’avance dans cet article, les souvenirs me reviennent ! Alors je vais te laisser sur une dernière petite anecdote, qui s’est produite quelques jours après notre arrivée !
Une dernière (galère d’expatriation) pour la route
Une dizaine de jours après notre arrivée, nous nous sommes rendus à Montréal. Un aller-retour sur une journée pour aller dédouaner le conteneur qui venait d’arriver au port (un petit mètre cube, soit 16 cartons). 7h de trajet aller-retour pour signer un document à la Place d’Youville. Arrivés sur place, nous nous dirigeons au cœur de cette grosse administration à l’Américaine. Digne d’un palais, avec ses vigiles, ses hauteurs sous plafond vertigineuses, des guichets à n’en plus finir et une salle d’attente immense. On se croirait dans un tribunal. Ce n’est pas le moment de faire une mauvaise blague. Restons sérieux, pour une fois.
Après un petit temps d’attente, nous sommes appelés. Avec nous, notre dossier complet, préparé avec soin grâce à notre transporteur :
- Nos passeports
- 2 copies de notre « arrival notice »
- 2 copies de l’inventaire détaillé et du colisage
- Tous nos documents d’immigration (CAQ, PE, lettre d’acceptation, bref la totale!)
- Notre plus beau sourire (sait-on jamais!)
La douche froide
« LE QUOI ? DE QUEL DOCUMENT PARLEZ-VOUS ? » (Voix Off : « ET MERDE! »). Il m’a regardé, je l’ai regardé, il a regardé Aline, elle l’a regardé, on s’est regardé, bref, ça ne sent vraiment pas bon cette histoire.
« LA DÉCLARATION D’IMPORTATION DE MARCHANDISES QUE VOUS ÊTES CENSÉS RENSEIGNER À VOTRE ARRIVÉE À L’AÉROPORT » (satanée borne d’enregistrement, la même où nous avions oublié de déclarer Néo, si tu as bien suivi depuis le début de cet article.) #oupsbavure
« NOUS SOMMES VRAIMENT DÉSOLÉS, MAIS NOUS N’AVIONS ABSOLUMENT PAS CETTE INFORMATION. LA COMPAGNIE DE TRANSPORT MARITIME NE NOUS AVAIT PAS FAIT PART DE CET ÉLÉMENT, SINON NOUS AURIONS BIEN ÉVIDEMMENT RÉALISÉ CETTE DÉMARCHE SUPPLÉMENTAIRE ».
Le verdict
Quelques secondes de silence, il nous a fixés comme tu regarderais ton fils qui insiste sur le fait que ce n’est pas lui qui a mangé le morceau de chocolat manquant, alors que tu vois pertinemment cette grosse moustache qui dégouline encore. Puis, délivrance, il nous lâche un sourire éblouissant en nous disant que « C’EST CORRECT » (l’intégration est de retour), avant de tamponner tous nos documents.
À savoir, ce petit détail important : nous n’avions pas intérêt à dépasser les délais impartis, car un entreposage au port prolongé entraine des frais journaliers facturables.
Cet article ne pourrait jamais se finir
Simplement, car j’aurais encore pu t’en raconter plein d’autres ! Sans blague! Promis, c’est la dernière : deux jours après notre atterrissage, notre livraison de meubles commandés depuis la France ne pouvait plus se faire à notre domicile, mais dans un dépôt à 2h30 de route de chez nous (à Sherbrooke). Ce qui se transforme en une location du plus gros camion que je n’ai jamais conduit. Le lendemain, nous embarquons, mon champion et moi et nous élançons sur la route pour aller récupérer l’intégralité des meubles de notre premier appartement ! C’est cadeau ! 😂
La moralité de cette histoire ?
Selon moi, l’expatriation est une aventure qui démarre réellement une fois que tu es entré dans l’avion. Avant, c’est l’échauffement. L’anticipation est un fait, le lâcher-prise en est un autre. Il faut avoir confiance en soi, en ses rêves et se dire que ce sera l’imprévu qui fera que cette expérience ne ressemblera à aucune autre. Ces petites choses loin d’être évidentes sur le moment te permettront de savourer les moments plus agréables qui suivront. P.S : toutes ces petites mésaventures se sont produites durant les 10 premiers jours de notre expatriation. 😁
« Il est impossible de savoir si ça va bien se passer, mais nous pouvons espérer le meilleur et improviser avec la réalité… »
« Que la force soit avec toi jeune padawan ! »
Pour aller plus loin dans l’aventure
Tu peux vite aller lire le récapitulatif illustré de notre folle année 2020. Malgré tout, elle fut exceptionnelle.
Ensuite, si tu as des questions sur notre mode de vie, une expatriation future ou même que tu es simplement à la recherche de conseils concrets pour changer de vie, il te suffit de m’envoyer un message sur les réseaux sociaux ou par l’intermédiaire de ce formulaire de contact. Simple et efficace. Je me ferais un plaisir de t’éclairer en m’appuyant sur notre propre expérience. Enfin, laisse-moi un commentaire ci-dessous, ça m’encourage et m’apporte une aide précieuse dans mon projet.
À bientôt et surtout, continue de rêver !
Bye-Bye
© Stalimapics – Profiter de l’instant. Vivre, simplement !
Génial comme article! merci du partage, j’aime beaucoup ton humour et ton positivisme !
Merci beaucoup ! 🙂 J’essaye d’en faire un maximum, de l’humour comme du positivisme.. ^^ Pas évident tous les jours, mais j’y travaille lol 😀
Après notre 4e expatriation on commence à être rodés, mais c’est sur que des galères on en a tous et on en aura encore ! Ça fait parti de l’aventure 😉
Wow “Serial Expats” ! 😀 J’imagine qu’avec le temps tu développes des automatismes et tu accumules un paquet d’expérience ! Mais effectivement, les imprévus font partie du jeu ! 🙂
J’adore ce ton et ce partage d’expériences ! Je veux en lire plus !
Merci bien ! Avec plaisir, n’hésite pas à revenir me voir ! Un article chaque semaine… 😉
Superbe article !! Il m’a rappelé mon année sabbatique en solo et avec mon sac à dos parti faire le tour de l’Amérique du Sud. Ultra préparée et pourtant des imprévus mais au final c’est ce qui renforce la confiance et nous permet de franchir les étapes suivantes qu’on ne perçoit même pas comme plus grandes alors qu’elles le sont. Votre témoignage est une ode à l’aventure moderne ! Merci
Merci Nicolas ! 🙂 Ça devait être une aventure incroyable ce road trip en backpack ! Chapeau ! Ravi de faire partie de ses aventuriers des temps modernes…. 😁
Je n’ose dire … que de bonus souvenirs…. en tout cas mes souvenirs similaires lors de mes 8 expatriations me font bien rire maintenant … et pourtant ce n’etait le cas lorsque je les ai vécu. Merci beaucoup pour ce superbe article 🙏
Merci à toi ! 🙂 WOW 8 expatriations !!! C’est dingue, tu rentres dans la catégories des “Serial Exapts” ^^ Quelles étaient les destinations ?
Salut Steve,
J’adore ton article, les notes d’humour sont superbes. Je trouve super ta décision d’être transparent et ne pas montrer que les points positifs. En ce qui me concerne ce n’est pas encore dans mes projets de m’expatrier, mais c’est dans un coin de ma tête. Et en tout cas je peux te dire que rien que les photos que tu nous partages, effacent les contretemps que tu nous exposes.
Merci pour cet excellent article.
Bonne Journée.
Christophe
Hello Christophe, Merci à toi !!! 😀 Pour le positif, il y a les belles photos Instagram, le blog permet de rentrer plus en profondeur dans certains sujets. Je n’ai rien inventé lol Tu le résumes bien, en faisant la part des choses et en prenant un peu (beaucoup) de recul, on sait en tirer du positif. À bientôt Christophe.
très sympa cet article! En effet les expatriations comportent souvent quelques surprises au début. Et souvent le conteneur arrive bien après nous! Lors de notre aménagement à San Francisco, mon mari a habité quasi un mois dans la maison avec juste un matelat conflable! De mon coté je ne suis arrivée qu’après le conteneur 😉 .
Merci bien ! 🙂 C’est vrai, notre conteneur était aussi arrivé plus tardivement que prévu, mais nous n’avions qu’un m3 donc il ne manquait pas grand chose.. Heureusement. Mais un mois sur un matelas gonflable, c’est du sport aussi !! ^^
Quelle angoisse de lire ton article ! Effectivement les débuts d’expatriation ne sont pas de tout repos et la résilience est la clé 🙂 mais ça fait des bons souvenirs pour plus tard, promis !
La résilience, c’est bien vrai ! 😉 Et heureusement les bons souvenirs sont bien plus nombreux..
Super article !
Dans la série des galères, je vais vous raconter une des miennes et celle-là elle se passe même avant d’entrer dans l’avion.
Je passe rapidement sur les derniers jours en France, nous sommes le Vendredi 15 mai 2020, dernière journée de boulot en France, je prends l’avion le 17 mai. Mon mari est déjà parti avec notre dernière fille depuis 2 petites semaines. Il fait sa quarantaine et doit nous trouver un logement pour mon arrivée avec notre autre fille. Oui oui vous avez bien lu, je pars dans 2 jours et je ne sais toujours pas où je m’en vais et je n’ai pas non plus de numéro de téléphone à donner à l’immigration, 2 informations obligatoires à leur donner à mon arrivée. Mais je suis confiante, je ne sais pas trop pourquoi mais je n’ai aucune inquiétude à ce sujet.
Le Grand Jour est là ! Je sais enfin où on va et j’ai un numéro de téléphone. Ma fille ainée (20 ans) qui reste en France nous accompagne à l’aéroport de Roissy, direction Montréal. Personne à l’aéroport presque, effet COVID. J’arrive au comptoir d’enregistrement, je passe le 1er contrôle sans problème et j’arrive donc devant la jeune femme pour enregistrer 4 valises et nos bagages à main.
Elle tape et retape sur son ordinateur, puis me demande de patienter. Et là, j’ai mon ado de presque 15 ans qui commence à faire une drôle de tête. La jeune femme revient et me dit qu’elle ne me trouve pas sur la liste des passagers, un responsable arrive et me dit qu’il faut que j’appelle Air Canada pour voir avec eux. Évidemment, j’avais la confirmation des billets par mail.
Et là, je vais vous la faire courte: 1 heure de conversation téléphonique avec air canada qui me dit que mon billet a été annulé et qu’il n’y a plus de place dans l’avion au tarif que j’avais pris. Il reste de la place mais dans une catégorie supérieure et il faut que je rajoute 4000$ au prix déjà payé! Oui, oui c’est bien le bon montant, je n’ai pas mis de zéro en trop. Je vous raconte pas l’état dans lequel se retrouve mon ado quand elle entend ça. Je pense qu’elle va bientôt se liquéfier complètement. Le pire c’est que du coup, je tente de payer ces fameux 4000$ mais ma carte bleue ne permet pas ce montant, ma fille ainée a une carte aussi mais même à 2 cartes ça ne passe pas. On téléphone même à ma mère et ça ne fonctionne pas non plus pour les 2000$ manquants. Je raccroche donc en demandant à la dame de m’envoyer par mail tout le résumé de cette conversation. Je suis dépitée, je ne sais pas quoi faire.
Je retourne voir le responsable et je lui raconte, il me dit qu’il est désolé mais qu’il ne peut rien faire. On fait donc demi-tour en direction du parking avec nos valises. Devant l’ascenseur je consulte mes mails et là … STUPEUR… un mail de air canada qui nous renvoie à nouveau nos billets électroniques.
Je décide de faire demi-tour et de montrer le dernier mail reçu à l’instant. Le gars regarde et me demande de patienter. Là un autre responsable arrive, prend un téléphone, me demande mon numéro de réservation et s’en va en parlant en anglais. (Pfff, j’y comprends rien) Il revient 5 minutes plus tard, ça nous a paru une éternité, et me dit c’est bon vous pouvez embarquer, rien de plus à payer, le chef de bord a accepté. OUffffffffff, et maintenant faut qu’on court car le décollage arrive rapidement.
Et à la douane française, j’ai évité une amende car je n’avais pas fait d’attestation de déplacement, mais je m’en fichais royalement du moment que je montais dans cet avion.
ET c’est juste le début de notre aventure qui n’est pas encore terminée car des galères on en a eu d’autres depuis mais finalement elles nous font bien rire.
Alors là je dis WOWWW !!! Tu nous a démontré en quelques lignes le stade supérieur de la galère de départ ! 4 000$ de surplus !!! C’est complètement dingue ! Sachant qu’à ce moment là, tu t’attends vraiment à toutes les probabilités et toutes les problématiques que tu pourrais rencontrer EN ARRIVANT mais vraiment pas en décollant… lol Merci pour ce partage d’expérience qui nous montre encore une fois que quoiqu’il arrive, on rebondit toujours. Et heureusement pour vous, vous êtes bien arrivés ! 🙂 Bonne continuation à toute la famille !😀
Toujours aussi agréable à lire ! Et toujours autant d’informations intéressantes pour ceux qu’ils veulent tenter une expatriation !
Merci à toi ! 🙂